François CAVANNA
Les ritals
Lu par Rémi En voici la présentation Même que sa boîte noire – pour ce qui est de ses souvenirs de gosse entre six et seize ans – est pleine de choses drôles, émouvantes, débordantes d’affection et de joie. Y a-t-il un livre sur l’enfance qui sonne plus vrai que celui-ci? – (Bernard Pivot, Lire) Enfin, il y a, tout au long de ces pages, le ton Cavanna. Les lecteurs de Charlie Hebdo le reconnaîtront, bien sûr, mais ils seront peut-être surpris d’y découvrir tant de tendresse. Avec le contrepoint d’une musique mélancolique aux histoires les plus hilarantes, et des échos burlesques aux histoires les plus poignantes. – (Rosa Laisné, L’Express) Cavanna, avec son ton familier de baratineur, nous dépeint ses jeunes années d’une façon décousue, se rappelant en vrac les meilleurs moments de son existence d’avant seize ans, à une époque plutôt joyeuse malgré la guerre qui pointe à l’horizon. – (Jean-Claude Lamy, France-Soir) Drôle, souvent émouvant, souvent terrible comme le meilleur des Céline (celui de Mort à crédit) Les Ritals de Cavanna est un très beau livre. – (Remo Forlani, R.T.L.) 1ère page : Le Livre de Poche 1981 Récit d’enfance donc, placé dans la bouche du “gosse de ce temps-là revécu par celui qu’il est aujourd’hui, et qui ressent tellement fort l’instant qu’il revit qu’il ne peut pas imaginer l’avoir vécu autrement”. Le fils d’un maçon italien et d’une Morvandelle, qui grandit au milieu des purs Ritals, saute avec eux du temps des gamineries dans celui des jeux de l’adolescence, se paie une fugue et s’en repent, cherche sa place dans un monde soumis aux tentations des chemises rouges, noires ou brunes. Quant aux adultes de cette petite Italie, c’est Vidgeon qui domine tous les autres, Vidgeon planteur de pêchers, fabricant de mètres pliants, donneur de pain à qui en manque: son père.
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